Le contenu représente le premier contact avec un visiteur web. C’est aussi l’intermédiaire entre le produit/service et l’internaute. Ainsi, rédiger pour le web est un travail qui doit répondre à deux objectifs principaux : un bon contenu web répond à un double objectif : donner au visiteur l’information qu’il recherche et, évidemment, convertir.
Comment bien rédiger pour le web ?
La rédaction web vise à inciter l’internaute à l’action. On lui donne des réponses et des informations pertinentes, mais aussi on lui donne envie d’aller plus loin, soit, de passer à l’action : remplir un formulaire, demander un devis, s’inscrire à une newsletter, etc.
Tout rédacteur web doit, en rédigeant du contenu, miser sur cet enjeu. La lecture numérique du contenu doit être compréhensible, agréable et incitative. Vu les contraintes imposées par le média, rédiger pour le web se distingue de l’écriture sur papier. Alors, elle représente un exercice spécifique qui a ses propres règles et ses best practices.
Dans cet article, nous avons réuni toutes les règles et astuces qu’il faut prendre en considération quand on écrit pour le web.
Sommaire
I. Rédiger pour le web – Le choix des mots-clés
II. Apporter de la valeur ajoutée
III. Capter rapidement l’attention du visiteur
IV. Rédiger pour le web – Favoriser la lisibilité
V. L’importance de l’illustration
VI. Prendre en considération les particularités de la lecture à l’écran
VII. Ajouter des informations complémentaires
VIII. Rédiger pour le web et penser au SEO
IX. Inviter les visiteurs à rester sur le site
I. Rédiger pour le web – Le choix des mots-clés
Avant de commencer la rédaction, il faut savoir en avance quelles requêtes vous voulez cibler afin d’atteindre un maximum de lecteurs.
En effet, c’est votre sélection de mots clés qui va déterminer la capacité de votre contenu à faire ressortir de manière efficace dans les résultats de recherche !
I.1. Choix du mot clé principal
Le mot clé principal est la requête sur laquelle vous souhaitez ressortir votre page, lorsque les internautes tapent leur requête dans la barre Google.
Un seul mot clé principal par page. Si, par exemple, vous proposez des produits cosmétiques et que vous voulez mettre en avant un shampoing pour cheveux secs, il faut chercher à cibler une requête principale comme « shampoing cheveux secs ». Supposons maintenant que vous vendez en ligne 20 types de shampooings. Il faut donc déterminer 20 mots clés principaux bien différents, et rédiger, par la suite, 20 contenus associés sur 20 pages distinctes.
Exemples : “Shampoing cheveux blonds”, “Shampoing cheveux bouclés”, “Shampoing cheveux bruns”, “Shampoing cheveux épais”, Shampoing cheveux fins, etc.
I.2. Choix des mots clés secondaires
La densité du mot clé principal n’est plus le seul critère à prendre en considération. En effet, il faut créer un contenu qui est sémantiquement riche. Cela plait de plus en plus au moteur de recherche Google. A cet effet, c’est le choix de vos requêtes secondaires qui apportera de la pertinence à votre texte. Utilisez alors des synonymes et des expressions connexes afin de mieux développer votre champ lexical.
Exemple avec « shampoing cheveux secs » :
Les mots clés secondaires servent à enrichir sémantiquement le texte de la page web. En d’autres termes, vous devrez dire la même chose que le mot clé principal, toutefois, il faut utiliser des termes différents :
- Produit capillaire, produit pour les cheveux, shampoing pour cheveux abîmés, soins capillaires, etc.
Vous pouvez trouver facilement des mots clés secondaires, en utilisant, par exemple, l’outil de planification des mots clés Ubersuggest ou le fameux Google Keyword Planner.
Vous pouvez aussi utiliser des mots qui appartiennent au même registre que votre mot clé principal. L’outil 1.fr est très efficace dans ce sens. En effet, il va générer toute une liste de termes proches et de requêtes secondaires. Si votre budget ne vous permet pas d’acheter cet outil, vous pouvez avoir recours à d’autres outils ou générateurs de champs lexicaux comme Google Suggest.
II. Apporter de la valeur ajoutée
La démocratisation de la toile d’araignée a rendu les consommateurs plus autonomes dans leur requête d’information. 57 % de la décision d’achat en BtoB, selon la Harvard Business Review, se fait avant même d’entrer en contact avec le vendeur.
Ensuite, intervient le contact commercial. En amont, le marketing de contenu doit apporter à l’internaute des informations pertinentes, claires et utiles pour lui permettre de prendre conscience de son besoin.
Ainsi, le premier principal enjeu du content marketing consiste à apporter de la valeur à travers un contenu web de qualité.
Qu’ils viennent d’un lien social media ou d’un moteur de recherche, les internautes ont des besoins et des attentes précises en arrivant sur votre site web. Ils sont en quête d’une information particulière, une réponse à une question spécifique… Ils souhaitent en apprendre plus sur un sujet. Le contenu web doit alors bien répondre à ces attentes.
Un contenu décevant ou trompeur n’encourage pas l’internaute à revenir et nuit à la crédibilité de l’entreprise. C’est le cas, par exemple, lorsqu’on promet monts et merveilles avec un titre ou une phrase pour offrir ensuite un contenu fade et vague.
Par ailleurs, proposer des contenus de qualité présente un impact économique important. En fait, 2/3 des clients BtoB affirment que les contenus lus avaient une influence considérable sur leur décision (DemandGen, 2014).
D’autre part, dans un secteur concurrentiel, bien rédiger pour le web représente un enjeu majeur. Si le prospect ne trouve pas une réponse claire à sa question dans votre contenu, il ira certainement la chercher chez un concurrent vers qui il se tournera quand il décidera d’acheter.
III. Capter rapidement l’attention du visiteur
Aujourd’hui, tout internaute souhaite être autonome dans sa requête d’information. Il recherche également des réponses immédiates à ses questions. En d’autres termes, le lecteur sur internet pratique très souvent une lecture en diagonale.
S’il ne trouve pas rapidement l’information souhaitée, il va quitter le site et aller chercher ailleurs. C’est-à-dire, on fait tout ce travail acharné pour le convertir en lead, mais nous risquons de le voir nous passer sous le nez.
Le lecteur, la plupart du temps impatient, parcourt le contenu des yeux pour le scanner rapidement. La fenêtre de tir afin d’attirer son attention est très courte, à peine quelques secondes. Il est alors impératif de savoir comment faire ressortir les mots-clés et les informations importantes dans la mise en page de l’article.
Afin de faire apparaître clairement la structure du contenu, le rédacteur est tenu d’écrire ses titres en y intégrant des mots-clés. En ajout, des paragraphes courts et aérés sont généralement plus faciles à scanner et même plus digestes à la lecture. De plus, utiliser le gras est très utile pour attirer l’attention sur les éléments importants. En outre, vous pouvez utiliser des schémas et des images dans le cœur du texte afin de retenir l’attention du lecteur.
Pour récapituler, la recette d’un bon contenu web est :
- Une structure apparente et claire
- Des idées précises exprimées en paragraphes et sous-paragraphes : un paragraphe correspond à une idée !
- Un vocabulaire et un style adaptés à sa cible
- La structuration des idées : il faut hiérarchiser les messages, mettre en avant ceux que vous trouvez être les plus importants, les mettre en début de texte…
- Aller, par la suite, de l’essentiel au moins important.
Pourquoi ?
Si les premières phrases manquent d’impact, le lecteur ne poursuivra pas sa lecture. En rédaction web, on appelle ce procédé d’écriture, le principe de la pyramide inversée.
IV. Rédiger pour le web – Favoriser la lisibilité
Comme nous l’avons déjà mentionné pour l’écriture, la lecture numérique est aussi différente de la lecture sur papier. Le rédacteur web doit écrire en prenant en considération les particularités et les spécificités du support web.
En effet, rédiger pour le web du contenu pertinent n’est pas suffisant. Il faut aussi savoir comment s’adapter aux différentes contraintes de la lecture en ligne.
Les facteurs perturbateurs sont nombreux :
- Environnement extérieur
- Reflet de l’écran
- Position et taille du support
- Temps de téléchargement
- Scrolling
Tous ces facteurs sont susceptibles de nuire à la compréhension du texte sur le web. Il est alors primordial d’optimiser son contenu web afin de rendre l’expérience de la lecture plus facile et plus agréable sur tous les types d’écran (PC, mobile, tablette, desktop).
D’un point de vue visuel, le rédacteur doit veiller au contraste entre la couleur du texte et le fond. Il doit aussi apporter un soin particulier à la typologie, à la typographie, aux polices d’écriture et à la taille de la police.
En ce qui concerne la structure, l’organisation du texte doit être aisément lisible indépendamment du support utilisé :
- Introduction,
- Titres et sous-titres,
- Images et schémas,
- Paragraphes,
- Conclusion
C’est que le support influe sur la manière d’écrire. La multitude des supports de lecture en ligne doit vous inspirer certaines questions. Quelles informations faut-il présenter en priorité ? Comment hiérarchiser les informations ?
Il faut aussi faire attention à la taille des images. Il ne faut pas qu’elles prennent trop de place et empêchent ainsi l’accès aux informations-clés. Par ailleurs, la répartition entre images et textes représente une autre contrainte. Il faut, en outre, prendre en considération la ligne de flottaison, enrichir le dernier paragraphe par des recommandations plus techniques et peut-être des exemples sous forme d’images.
Le découpage de l’information influe, de manière générale, sur la volonté du lecteur de poursuivre sa lecture. Le rédacteur doit alors veiller à présenter l’information en paragraphes courts. Comme vous l’avez compris, chaque paragraphe doit présenter et développer une idée. Les paragraphes denses sont décourageants. Il faut également penser à ménager des respirations dans le texte.
V. L’importance de l’illustration
Insérer des images dans votre contenu web est très efficace pour alléger et aérer votre texte. Cela permet d’apporter du confort de lecture au lecteur et de faciliter la compréhension en illustrant les points abordés. Toutefois, il faut bien les sélectionner.
En effet, il est très important d’être attentif au choix des images. Ces dernières doivent être en corrélation avec le texte et lui donner une valeur ajoutée en matière de qualité. A l’inverse, une illustration mal choisie est susceptible de tirer la qualité du contenu vers le bas.
VI. Prendre en considération les particularités de la lecture à l’écran
En rédaction web, il faut garder à l’esprit qu’entre le lecteur et votre texte se trouve un écran. Les façons de lire sur un écran se diffèrent de ceux de la lecture sur papier, il faut alors pouvoir s’adapter.
Certaines études réalisées ont permis de déterminer les zones les plus importantes de lecture à l’écran. Il est alors important de prendre en considération ces zones stratégiques pour y faire figurer les informations clés ou les liens internes.
Par ailleurs, l’internaute a ses propres comportements, souvent impatient et moins attentif, il cherche une information précise, claire et ciblée.
Voici alors quelques pistes pour mieux comprendre le comportement des lecteurs sur internet, et vous aider à adapter votre rédaction web.
Ces zones chaudes se trouvent surtout à gauche de l’écran, et on remarque que le lecteur balaie la page de gauche à droite en formant, notamment, un F. Il s’agit ici des zones stratégiques de l’écran qu’il faut préférer pour mettre en avant les éléments les plus importants du contenu.
Même si le scroll n’est plus un frein pour l’internaute, habitué, notamment, à scroller sur les réseaux sociaux, les zones chaudes se situent souvent au niveau de la ligne de flottaison. Pensez alors à intégrer les informations importantes ainsi que les call-to-action à ce niveau. Ainsi, la pertinence de votre texte donnera au lecteur envie de scroller afin de découvrir la suite.
VII. Ajouter des informations complémentaires
Contrairement au papier, rédiger pour le web vous permet d’apporter au lecteur des compléments d’information grâce à l’ajout de liens.
Il est alors recommandé d’utiliser ces liens internes et/ou externes pour ajouter une information supplémentaire claire et pertinente, par exemple :
- L’explication d’un concept évoqué
- Appuyer une statistique citée
- Faire découvrir un produit complémentaire
En plus d’apporter de l’information complémentaire, cette pratique est aussi conseillée pour votre optimisation SEO.
VIII. Rédiger pour le web et penser au SEO
Le contenu représente le premier contact entre une marque et un visiteur web. Ainsi, faut-il que l’internaute vous trouve.
Afin de générer du trafic durablement, il faut combiner approche SEO et content marketing. Ces deux approches se nourrissent réciproquement. Le référencement améliore le positionnement sur les pages de résultats des moteurs de recherche et alors la visibilité des contenus. Rédiger pour le web permet, en effet, de se positionner sur de nouveaux mots-clés.
Quelles pratiques de SEO faut-il adopter lorsqu’on rédige pour le web ?
VIII.1. La recherche de mots-clés
Lorsqu’on travaille sur une stratégie éditoriale, il faut répondre aux problématiques de votre cible, mais aussi aux bonnes pratiques SEO.
Afin de se référencer, il faut rechercher les mots-clés (le mot clé principal et les mots clés secondaires) qui représentent un potentiel en termes de SEO et qui répondent aux usages de requête de vos clients-cibles.
VIII.2. La technique du cocon sémantique
Cela consiste à lier des contenus d’un site web entre eux. Ces contenus traitent de la même thématique grâce au maillage interne.
Cela vise à renforcer le positionnement sur une thématique précise et de la traiter de manière plus complète et interconnectée.
VIII.3. La longueur des articles
En termes de référencement naturel, la taille représente aussi un critère important !
A cet effet, le nombre de mots du contenu représente un critère de référencement sur les moteurs de recherche, notamment, sur Google. Afin d’intéresser ce moteur et consorts, un article de blog doit faire au moins 500 mots. A partir de 800 mots, on peut parler d’un bon référencement naturel.
Toutefois, si on évolue dans un domaine très concurrentiel, il faudra produire des articles de 1500 à 2000 mots, voire même plus.
En effet, pour les algorithmes Google, la longueur d’un contenu représente pour le lecteur un gage de qualité. De manière générale, un article long traduit la volonté du rédacteur de traiter le sujet en profondeur. Cela représente l’un des effets du 10x content. Ainsi, si on veut créer un contenu plus qualitatif, meilleur que les contenus des concurrents, il faut du travail bien élaboré et bien creuser.
A cet effet, il est recommandé de créer moins de contenus, mais de produire des textes plus complets.
Par ailleurs, un contenu long va attirer plus longtemps l’attention du lecteur qu’un billet court. Il faut veiller toutefois à rédiger un contenu de qualité. Plus le lecteur lit, plus il reste longtemps sur la page web. On a alors plus de chances de le convertir.
VIII.4. Organiser le contenu avec des balises sémantiques
Lorsque l’algorithme du moteur de recherche analyse une page, il donne plus d’importance aux mots clés selon l’endroit où ils sont intégrés. Il s’agit, comme nous l’avons déjà vu au-dessus, des zones chaudes. Celles-ci sont un critère capital de l’algorithme de pertinence.
Dans la rédaction optimisée, elles correspondent également à la balise h1 ainsi que la balise TITLE.
La balise H1 correspond au titre de votre contenu. Il vaut mieux mettre votre mot clé principal au début du titre H1.
Il est également possible de formuler le titre H1 sous la forme d’une question, cela est utile pour parvenir aux positions 0 et, alors, se positionner avant tout le monde dans les pages de résultats de recherche.
Ensuite, il sera intéressant de se pencher sur les sous-titres, compris notamment, dans les balises Hn, soit, les balises H2, H3, H4, H5 et H6. Elles sont utiles pour mettre en avant vos mots-clés secondaires. Essayez alors de placer un mot-clé secondaire dans chaque sous-titre. Il faut veiller néanmoins à bien équilibrer les intertitres. En effet, il faut utiliser au moins deux titres du niveau inférieur, en d’autres termes, il ne faut pas se contenter d’un seul H3 sous un H2.
VIII.5. La balise TITLE
La balise <title>, représente aussi une des zones chaudes : elle désigne le titre de votre page web, et se trouve dans la zone supérieure de la fenêtre de navigation. Il s’agit aussi du titre qui apparaît dans les résultats de recherche.
Afin d’inciter au taux de clic, il faut que ce titre résume en seulement quelques caractères (55 à 65 caractères maximum) votre contenu web.
Si vous dépassez le nombre de caractères maximum, le titre sera tronqué dans les (pages des résultats des moteurs de recherche) SERPS.
Veillez à placer le mot clé principal de la page web au début du titre.
VIII.6. Rédiger pour le web – La balise méta description
- Son impact direct pour optimiser le référencement naturel SEO est quasi-nul, toutefois, c’est surtout le taux de clic qu’elle génère qui la rend importante. Sur les pages de résultats de recherche, on la trouve juste en-dessous de l’URL et de la balise TITLE.
La méta-description résume sur deux lignes le contenu de votre page web, elle a le droit à un espace d’entre 150 et 170 caractères.
VIII.7. L’URL
Il s’agit de l’adresse qui mène à votre page. Pour obtenir une meilleure optimisation SEO, il est recommandé de la réécrire en mettant le mot clé principal de la page à l’intérieur.
VIII.8. Les balises ALT
La balise ALT permet d’associer à vos visuels un ou plusieurs mots clés. De cette manière, vous utilisez des mots clés complémentaires destinés aux robots de moteurs de recherche.
Afin de remplir la balise ALT, il faut se rendre dans le code HTML de la page web et, ensuite, renseigner la balise ALT du visuel.
VIII.9. Rédiger pour le web – Le maillage interne et externe
Comme nous l’avons déjà évoqué plus haut, il est important de relier les articles entre eux. Cela permet d’assurer :
- La fluidité de la navigation à l’intérieur de votre site web, ce qui permet alors d’améliorer l’expérience utilisateur
- L’optimisation du référencement naturel de votre site internet
Par ailleurs, il faut aussi respecter un bon équilibre entre liens externes et liens internes.
Nous conseillons 1 lien externe pour 2 liens internes. En ce qui concerne le lien externe, il faut le pointer vers un article pertinent qui est en mesure d’apporter une vraie information supplémentaire au visiteur. Evitez aussi de le diriger vers Wikipédia !
VIII.10. La vidéo
Certes, la vidéo ne fait pas partie de la rédaction, cependant, bien rédiger pour le web nécessite d’apporter les compléments nécessaires au lecteur. Si, par exemple, une vidéo explique un concept important, l’inclure dans la page concernée sera un plus.
Par ailleurs, vous pouvez retranscrire les vidéos en texte. Cela est important et doit être mis en place en respectant les critères d’une bonne rédaction.
IX. Inviter les visiteurs à rester sur le site
Rédiger pour le web représente le début d’une série de conversations. La finalité, c’est de le convertir en lead puis en client.
Il faut alors concevoir le contenu web de manière à inciter les visiteurs à poursuivre leur navigation sur d’autres pages du site internet. Afin de réduire le taux de rebond, on peut proposer au lecteur des articles qui portent sur le même thème ou lui suggérer des liens qui renvoient vers d’autres contenus du site.
Afin de l’inciter à revenir, il faut intégrer dans les articles des call-to-action pour récolter les coordonnées du visiteur et pouvoir poursuivre la relation.
Plus le visiteur reste longtemps, plus il sera enclin à revenir ou à passer à l’action. Ainsi, on a plus de chances de le convertir au final.
X. Rédiger pour le web – L’après-publication
Rédiger pour le web, c’est également penser à la manière dont l’article web sera réutilisé après sa publication.
Le content marketing ne consiste pas seulement à rédiger. Il nécessite également une véritable stratégie de diffusion des contenus, aussi sur les réseaux sociaux.
Le rédacteur doit faire attention au titre du contenu, la méta-description et le résumé. En améliorant ces éléments, on s’assure que le message à transmettre reste clair lorsque le contenu sera relayé.
Par ailleurs, vu la quantité de contenus publiés, la concurrence est très rude. Pour se faire distinguer par les internautes et afin de pouvoir convertir les prospects, il faut créer du contenu pertinent, original et optimisé pour les moteurs de recherche.
Bien rédiger pour le web exige, en effet, du temps et des ressources. Si les ressources utilisées sont trop limitées, l’externalisation sera une alternative intéressante puisque cela permettra de se recentrer en interne sur des aspects de l’inbound marketing stratégiques.
Rédiger pour le web – Conclusion
Le référencement naturel doit faire partie importante de votre stratégie de contenu. Ce travail commence par la recherche de mots clés. Cela représente, en effet, un potentiel en matière de référencement et correspond aux besoins de vos cibles. Ensuite, il faut bien structurer votre contenu, notamment, avec une répartition adéquate de mots clés et de leur champ lexical. Nous rappelons aussi que votre contenu doit faire 500 mots au moins, et en fonction de la concurrence de votre domaine, vous pouvez écrire jusqu’à 1500 ou 2000 mots.
En partageant notre expertise et notre savoir-faire avec l’internaute, nous souhaitons nous positionner comme un interlocuteur digne de confiance.
Si vous souhaitez obtenir de l’aide pour rédiger pour le web, vous pouvez faire appel à nos rédacteurs web qui créeront pour votre site web un contenu assurant une lisibilité de qualité à vos visiteurs.